Thérapeute énergéticienne près de Rennes
L’ artisan de lumière est celui qui œuvre humblement à diffuser la lumière en lui et autour de lui. Afin de pouvoir soutenir et aider l’humanité, il est amené à travailler sa propre lumière, à l’équilibrer avec l’ombre et à prendre la responsabilité de son incarnation et de sa mission divine. L’artisan de lumière est un éclaireur éclairé. Il contribue à changer les paradigmes, à ouvrir les consciences, à reconnecter les énergies du cœur, à élever les niveaux vibratoires. L’artisan de lumière travaille avec d’autres artisans en évolution et avec les hautes fréquences vibratoires.
Un artisan de lumière ne sera pas forcément thérapeute, il diffuse la lumière de la façon la plus juste pour lui. Etant sur un chemin de vie très spirituel (33), j’étais déjà un peu thérapeute avant d’être libérale. Naturellement, mon travail de lumière passe par la parole, la compréhension, la conscience et les capacités médiumniques. L’énergétique s’est présenté à moi en 2019 afin d’aider à la transmutation des énergies denses. Ma pratique m’a permis d’affiner mes ressentis et d’agrandir mon champs d’exploration.
Le soin énergétique est un outil qui accompagne le consultant dans une démarche énergétique plus globale qu’il a instauré de lui-même (en posant des intentions notamment). L’artisan de lumière n’est pas un « dépanneur », c’est plus un facilitateur. Comme la lampe frontale qui éclaire votre chemin dans le tunnel. L’artisan vous accompagne et éclaire des zones que vous ne verriez pas seul(e), néanmoins, c’est vous qui faites le chemin !

Mon parcours
J’exerce depuis 2019 et je suis actuellement installée à Cesson-Sévigné en Ille et Vilaine près de Rennes. Je reçois en présentiel et travaille également à distance de manière équivalente.
Après 10 années passées dans la communication, le webmarketing et l’informatique, j’ai senti que je n’étais plus alignée avec quelque chose en moi. Comme si la stimulation intense de mon métier et le fun du quotidien ne faisaient finalement pas sens. Je cherchais une façon de me sentir à ma juste place, une façon de me reconnaître.
La vie m’a amené l’occasion de m’intéresser à moi, de commencer à me regarder, d’essayer de me comprendre pour trouver ma nouvelle voie. La perte d’un être cher à mon cœur a agit comme une sorte de détonateur. Comme beaucoup de personnes qui ont traversé des chaos, la résilience, la conscience et la sagesse m’ont aidé à me reconstruire. Le plus beau cadeau que je pouvais me faire était celui de me choisir, enfin.
S’en est suivi une période de décryptage de ma personnalité, de mon fonctionnement, de ce qui m’anime, me nourrit et fait sens dans ma vie, dans cette incarnation que j’ai choisie.
Naturellement, le professionnel s’est arrêté, aussi doucement qu’une voiture dont le réservoir est vide. Mon agenda prévoyait déjà la formation en bioénergie, coïncidence ? pré cognition ? chance ou hasard ? « Tout est juste, il me suffit de me laisser porter par le flux de la vie. »
Deux mois à peine après la formation énergétique j’étais installée dans mon premier cabinet, attendant de voir ce que l’univers me réservait. J’ai gardé pendant 6 mois un pied dans mon ancien domaine en tant qu’indépendante mais très rapidement, j’ai compris par les messages subtils que je recevais et par l’écoute intérieure que ce n’était pas juste. Dès 2020, je choisissais de me consacrer à 100% à ce nouveau métier et de me positionner en tant que Thérapeute énergéticienne.
Ma personnalité
Comme toutes les personnalités, la mienne est riche et complexe. Telle une boule multi-facettes qui réfléchit la lumière.
Les étiquettes n’ont pas pour but de réduire ou de définir à elles seules notre personne. Elles font partie de notre complexité, d’un ensemble de données qui aident à la connaissance de soi. Elles ne nous définissent pas, chaque individu est singulier et possède selon moi, un fonctionnement qui lui est propre, par conséquence, un fonctionnement atypique. Néanmoins, certaines personnes peuvent se reconnaître dans des profils identifiés, étiquetés, leur permettant de mettre des mots derrière des ressentis et de partager des émotions, des pensées, des valeurs analogues.

Émotion.
« Écoute ton cœur quand les bois l’appellent, et ton âme quand elle chante aux rivières. Écoute ton corps qui n’attend qu’à danser, puis prête l’oreille au vent qui murmure ton nom. Va au creux des bois, aux fins fonds des forêts, et laisse les racines s’emparer de tes peines.«
Auteur inconnu
Hypersensible – Hypersensitive – Intuitive – Empathe – Créative
Je dis souvent qu’être hypersensible ou se reconnaître hypersensible est un fait, ni plus ni moins. C’est comme être grand ou petit par rapport à une moyenne, cela apporte son lot d’avantage et d’inconvénient. Parfois l’hypersensibilité est agréable, parfois, elle est désagréable. Ce qui la rend désagréable se trouve souvent dans l’effet miroir, soit ce que l’autre nous renvoie car lui ou elle ne ressent pas aussi fortement le monde qui l’entoure. Et par voie de conséquence, l’hypersensibilité peut être vécue de façon désagréable quand nous n’acceptons pas cette manière d’être au monde, quand nous manquons d’amour propre, de reconnaissance et d’estime de nous-même.
Finalement, le vrai dilemme se trouve plus dans l’acceptation de sa sensibilité, de sa sensitivité et de sa créativité que dans le fait de ressentir plus fortement et plus finement les énergies ambiantes. Avant les années 90, l’hypersensibilité était nommée « hystérie » car la non gestion émotionnelle et le flux d’informations, de stimuli, de connexions neuronales que recevait la personne ajouté aux situations d’injustice et à une intuition parfois démesurée amenait souvent les personnes à être considérées et à se voir comme étant « folles », « border »,… Aujourd’hui, le terme, démocratisé, est attendu et accueilli de mieux en mieux. Néanmoins, il s’agit là d’une façon de fonctionner et de recevoir l’information, non d’une pathologie.
Résonner avec le fonctionnement hypersensible m’a permis d’accueillir entre autres mon empathie et mon intuition. Avant cela, et avant de comprendre quelques notions énergétiques, je ne comprenais pas pourquoi tout me prenais à cœur, pourquoi je vivais des montagnes russes émotionnelles, pourquoi les humeurs des gens autour de moi m’impactaient autant et pourquoi je passais de la vitalité à la fatigue en quelques secondes parfois. Me reconnaître dans mes facultés intuitives et empathiques m’a aidé à accepter qui je suis et à me reconnaître. C’est en cela que « l’étiquette » d’hypersensible a été intéressante dans mon parcours.
Les personnes hypersensibles sont parfois reconnaissables par leur grand sens de la justice, leurs idées et leurs concepts profonds, leurs questions existentielles, leur connexion subtile et profonde à la nature et au monde invisible, leur pensée en arborescence, l’intensité des informations qu’ils émettent et reçoivent, leur intolérance aux stimuli trop forts (étiquette qui gratte, musique trop forte ou aigüe, parfums particuliers,…). Elaine Aron, psychologue américaine et auteure du livre « Ces gens qui ont peur d’avoir peur » propose un test pour déceler l’hypersensibilité chez les adultes et les enfants et prodigue des conseils pour celles et ceux que cela concerne.
Sans poser de diagnostic, l’hypersensibilité est une thématique que j’aborde et étaye régulièrement avec les consultants (adultes et enfants). Elle nous permet parfois de rebondir sur les blessures et les blocages de l’enfance, les situations d’injustice, les traumatismes et tout ce que cela implique.

Singularité.
« J’ai appris à aimer et à respecter les gens qui ne sont pas comme les autres. Ils font plus que les autres. Ils font même plus pour les autres. Ce sont des gens qui brassent beaucoup, qui arrivent à faire tomber des barrières. Derrière toute personne anti conformiste, il y a quelqu’un de riche, quelqu’un d’isolé aussi. Je m’attendris deux fois pour ces gens-là. »
Alexandre Astier
TDAH – HPI – Pensée arborescente – Multi potentiel – INFP
Autant de terminologies pour tenter d’expliquer ces personnalités dites « atypiques ». Puisque chaque personne est singulière et que notre construction neuronale l’est tout autant, ne serions-nous pas tous atypiques ?
La psychologie nous dit que le Haut Potentiel Intellectuel est une construction cognitive alors que le Trouble et Déficit d’Attention avec ou sans Hyperactivité est un trouble neurodéveloppemental qui se caractérise par de l’inattention, de l’hyperactivité et de l’impulsivité. Parfois, les symptômes se mélangent et les diagnostic peuvent être délicats à poser.
Dans mon parcours de découverte de mon fonctionnement, le diagnostic HPI a été posé de façon évidente. Tellement, que le HPI venait camoufler le TDAH qui ne fut mis en lumière qu’après. Il faut dire que mon TDAH n’est pas aussi bloquant dans mon quotidien que chez certaines personnes.
Dans ce bazar organisé, je peux témoigner d’un cerveau qui ne dort jamais, d’années de réveils nocturnes, de quêtes et de questions existentielles, d’ennui abyssal, de tendance à la procrastination, d’un cruel besoin de dopamine, d’une capacité à commencer une tâche par tous les bouts et à m’y perdre, d’une sorte de phobie administrative (mêlée à un peu de mauvaise volonté il faut dire), d’un réel manque d’ancrage et de pleine présence, d’un besoin de stimulation et de joie intense, d’un joli syndrome de l’imposteur, d’auto sabotage et de sur adaptation, d’une inhibition latente (lorsque le cerveau a du mal à trier les informations importantes/pas importantes car il en reçoit beaucoup trop)…
Mais ce fonctionnement et le fait de me reconnaître dans ce type de personnalité a révélé ma créativité, mon intuition et mon empathie, si longtemps banalisées ou enfermées. Me reconnaître dans mon fonctionnement et à ma juste valeur a été salvateur. Peu importe l’étiquette, ce n’est pas elle qui vous définit entièrement, ce serait trop simple, et nous sommes tous et chacun des êtres riches et complexes. Me révéler et me reconnaître dans cette organisation de pensée, dans cette façon de voir le monde m’a réconcilié avec cette enfant « bizarre » que j’étais et que j’ai tenté d’étouffer.
INFP est le profil MBTI que l’on me concède, inspiré des travaux de Carl Jung. Un profil de médiateur idéaliste et empathe, entre autres. Longtemps, les masques et la sur adaptation au monde (alimentée par les blessures de l’enfance) m’ont rangé chez les extravertis. En connectant de plus en plus à mon authenticité et en me reconnaissant, le nouveau test a révélé une personnalité introvertie, fidèle à l’enfant que j’étais. (Introverti ne signifie pas être timide ou réservé mais définit une personne qui se ressource seule, contrairement aux extravertis qui se ressourcent auprès des autres).

Spiritualité.
« La magie n’ opère que si l’ on veut bien consentir à se laisser emporter par Elle ».
J.R.R Tolkien
Artisan de lumière – Chemin de vie 33 – Ame stellaire (starseed) – Énergies féériques – Initiateur de conscience – Witchy vibes
Difficile de savoir véritablement ce qui passe au-delà du tangible. Et pourtant l’invisible, qui fascine l’Homme depuis qu’il est en capacité de penser, est lié au visible. Légendes, mythologies, histoires, philosophies ou croyances, beaucoup se laissent séduire par l’univers de la magie et par la magie de l’Univers.
« Pas de haut sans le bas » nous dit la loi universelle de polarité. Pour que l’équilibre soit, il est important d’aligner nos racines à nos ailes. Symboliquement, il ne suffit pas d’apprendre à voler, il faut aussi savoir atterrir en sécurité. Cela permet de garder les pieds sur terre et la tête dans les étoiles.
Etre spirituel ne signifie pas être perdu quelque part ailleurs mais vouloir aller voir au-delà du voile de l’égo, dans la profondeur de son Soi, dans la subtilité de la vie, dans la pleine conscience, dans la reliance et dans l’unité, au cœur de son être, de son âme. Comme le microcosme et le macrocosme possèdent les mêmes caractéristiques, la même composition et le même fonctionnement, alors le microcosme (dont l’homme) est un point d’appui pour connaître le Tout. Car connaître une partie, c’est connaître le Tout, à l’image du fameux « Connais-toi toi-même et tu connaîtras l’Univers de les Dieux » de Socrate.
La vie et les rencontres de vie m’ont reconnecté à ma spiritualité, à ma capacité à m’interroger et à aller voir au-delà. Dans ce parcours, je me suis notamment souvenue qu’enfant je faisais des demandes « là-haut » sans nommer de Dieu ou de présences particulières. Je croyais juste en quelque chose de plus loin, de plus haut ou de plus profond capable d’entendre mes rêves, mes souhaits, mes requêtes. Souvent, je demandais à ce qu’on prenne soin d’une personne de mon entourage. Parfois, je confiais mes peines en chuchotant, comme Anne le faisait en écrivant à Kitty, son journal.
Je me suis rappelée qu’enfant je croyais réellement en l’autre même sans le comprendre, je voyais le beau dans le laid, je m’émerveillais devant tout un tas de choses de la vie, je pleurais et riais beaucoup (pour rien de « raisonnable »), je ressentais la mélancolie du monde et j’aimais plonger mon esprit et mon cœur dans les étoiles.
Dans mon cheminement, j’ai travaillé à récupérer des parts de moi ; divines, karmiques, psychiques, émotionnelles et matérielles. Afin de m’aligner au mieux à toutes mes parts, dans toutes mes polarités ; dans le haut et le bas, dans l’ombre et la lumière, dans le féminin et le masculin, dans le passé et le à venir… Un cheminement prévu d’aboutir à une forme de réalisation, de reconnaissance de qui je suis et de ce que je suis venue faire ici bas. Un cheminement de vie sans ligne d’arrivée ni d’autre trophée que celui de la paix.